La chasse aux pirates

Tokyo, avril 2029, 5:00 am.

Kaya s’assit sur le rebord du lit de Fumio. Ce dernier était profondément endormi. Elle lui caressa doucement le visage du bout des doigts et murmura, d’un ton si naturel qu’il était impossible de penser qu’elle était une androïde :

-Debout, mon chéri. C’est l’heure de se lever.

Tous les matins, Fumio exigeait d’être réveillé ainsi par l’androïde. Celle-ci exécutait sa tâche comme elle exécutait tout ce que son maître lui demandait. Elle ne pouvait pas faire autrement : les androïdes JK200 étaient programmés pour obéir à une seule personne.
Le japonais se retourna en grommelant, puis ouvrit les yeux. Il s’assit dans son lit en se frottant les yeux. Kaya lui tendit un verre remplit d’un liquide légèrement rosé.

-Tiens, voilà ton petit déjeuner.

Fumio saisit le verre et le but cul-sec. Kaya se leva et lui dit :

-Je t’ai préparé tes vêtements. Veste grise rayée, pantalon gris clair, chemise blanche, chaussures noires.

Fumio grommela un remerciement et s’extirpa doucement du lit. L’androïde le regarda passivement s’habiller. Elle-même était vêtue d’un bustier noir lacé au devant, d’une jupe courte noire et bleue à volants, et de bottes lacées à semelle compensée. Elle s’était faite des mèches bleues dans ses cheveux noirs, et les avait relevés avec des rubans. C’était Fumio qui choisissait sa garde robe.
Quelques minutes plus tard, ils étaient sur la route, chevauchant la grosse moto de Fumio. Ce dernier avait deux fiertés, sa moto et Kaya. Il se sentait fier comme un coq en conduisant son bolide, une belle femme accrochée à sa taille. Il avait un bon salaire, et il avait économisé pendant des années pour s’offrir la moto et l’androïde.
En un quart d’heure ils atteignirent les gratte-ciels du centre ville. Ils entrèrent dans le quartier général de la Section 9 japonaise. Ils passèrent sous le portique qui relevait les identités grâce aux empreintes oculaires. La voix de robot déclama :

-Umebayashi Fumio, ingénieur, bureau n°181. Androïde JK237, bureau n°181 bis.

Ils prirent l’ascenseur jusqu’au 27ème étage. Ils entrèrent dans une salle remplie d’ordinateurs ultra perfectionnés et d’outils électroniques. Fumio s’assit face à sa machine, Kaya face à la sienne, sur le même bureau.
Fumio salua quelques collègues, puis se mit à taper frénétiquement sur le clavier de son ordinateur.
Un collègue, Akio, s’approcha de lui et s’accouda à son bureau.

-J’ai du nouveau pour toi, Fumio. Les autorités anglaises nous ont appelés ce matin. Un pirate a fait sauter le système de sécurité de la banque où le premier ministre anglais a un compte et des coffres. Tous ses biens ont disparu. Il est dans une rage folle.

Fumio leva les yeux vers Akio.

-Et alors ? Pourquoi nous appellent-ils ? La Section 9 anglaise est impuissante ?

-Le logiciel utilisé par le pirate n’a laissé aucune trace. Aucun logiciel utilisé en Angleterre n’est aussi puissant. Et tu rappelle du ministre allemand qui s’est fait sauté la cervelle ? Il n’avait aucune raison de la faire, donc on a pensé que quelqu’un avait piraté son cyber-cerveau. Mais il n’y avait vraiment aucune trace, et l’affaire s’est étouffée. Mais au Japon, la technologie est beaucoup plus avancée que dans le reste du monde. On a réussi à coffrer des pirates qui utilisaient des logiciels tellement perfectionnés qu’ils étaient presque impossibles à détecter. Nous en avons conclu que le pirate qui a cambriolé la banque d’Angleterre et celui qui a poussé le ministre allemand à se suicider est japonais. Il existe encore d’autres cas que ces deux là, un peu partout dans le monde. Et c’est d’ailleurs peut-être une seule et unique personne derrière tout ça.

-OK. Qui est sur le coup ?

-Moi, Chieka, Genjuro, toi et ton androïde. L’équipe habituelle quoi. On l’a appelée l’affaire « Invisible man ».

Les deux hommes discutèrent un moment de l’affaire. Pour l’instant, on n’avait apparemment aucune piste. Dès que quelqu’un trouverai quelque chose, c’est Kaya qui irait sur le terrain, comme d’habitude.

Moineau Boisé Messages : 27 Date d'inscription : 26/04/2008

Ce matin la comme tout les matin, Kénoni c’étais réveiller a 8 heure les cheveux toujours en pétard, il tenta de s’habiller mais abandonna l’idée après avoir seulement enfiler un pantalon beige l’homme était donc tosse nue enfin... non pas vraiment il portait toujours son cevlar.... traînant des pied le japonais alla dans le coin cuisine ou il ce prépara un thé bien chaud et par fainéantise de devoir ce relever de sa chaise au moment ou ce serais chaud Kénoni attendit que l’eau cois chaude cela fait il ce versa une tasse et prit quelques biscuit dans sa main et alla dans la grande salle ou il s’était aménager pour ce qui valais un super ordinateur... il s’installa sur la chaise qu’il avait choisit très confortable à cause du temps qu’il y passait, posa ces biscuits et sa tasse sur une petite table a l’écart afin que les miettes n’ailles pas entres les touches précieuses et sensibles des quatre claviers qui s’alignaient devant, et regarda la dizaine de grands écrans qui était devant lui qui restaient perpétuellement allumer. À coter du clavier principale, son magnum était poser tranquillement et le Walteur lui était dans son dos. La première chose qu’il regarda, l’historique des programmes il passa toute la nuit en revue et crachat -en évitant les claviers- le thé qu’il sirotait tranquillement, lorsqu’il découvrit un bug horrible dans son si beau programme.... cet imbécile avait prélever tout l’argent sur un seul et même compte! Cela n’était jamais arriver, et selon les probabilité ainsi le nombre de tirages effectuer, cela était impossible... Kénoni n’eu pas besoin de ce le dire deux foie pour corriger cette erreur. Pianotant sur ces clavier avec ces dix doits et utilisant quelques macro, le pirate élimina toute probabilité qu’un compte puis subir deux prélèvement une même foie en ordonnant justement, que les comptes qui aient été utiliser dans un délais d’un mois ne puise plus être utiliser a nouveau car le programme choisissait d’abord une banque puis piochait une petite somme parmi les différents comptes de la dite banque mais les banques d’états étaient exclus de ces tirages arbitraires. Cette opération réduisait les dépense qu’il pouvait faire mais ce n’était pas un prince... Le problème, c’est que cette erreur allait lui coûter chère. Car après quelques recherche mener personnellement, il ce trouve que ce fut une personne importante qui fut ainsi dépouiller... il du donc tenter une nouvelle intrusion, pour savoir si il avait du mouron a se faire. heureusement les ordinateurs anglais étaient de véritables gruyères et Kénoni ne mit pas longtemps à trouver les information qu’il voulait. selon toute vraisemblance, ils avaient fais appel a la section 9 du Japon sans preuve concrète bonne pioche pour eux, mais la première ip que l’on découvrait lorsqu’il piratait lui même ce trouvait en Corée du nord.... cela avait peut-être aider a ce qu’ils choisisse cette section en comparant performance et distance... le pirate relâcha la pression et finit son petit déjeuner... mais avant de quitté ce système, tout en le parcourant, Kénoni avait mi un sacré foutoire dans fichier et dossier supprimant, créant, déplaçant, réécrivant n’importe quoi, le tout pour semer la zizanie et dissimuler sa progression. Sans oublier qu’il s’attaqua a l’historique de ces voyage afin de dissimuler mieux encore son trajet. Le repas passer, notre homme bidouilla quelques derniers truc et ce retira. D’humeur a présent sympathique, Kénoni décida de s’amuser un peut la difficulté en ce jeux était de trouver la cible. Et après quelques réflexion, l’homme ce décida pour un casino Américain. Son projet? Faire que toute les machines a sous balances le gros los en même temps, tout en reprogrammant les distributeur de cartes de poker pour que chaque joueur ais droit a une suite égale. Cela devait pimenter leurs jeux, mais ce genre d’amusement ne ce fessait pas à l’improviste... avant donc de tenter toute intrusion de grande envergure, Kénoni par une infiltration plus discrète commença a enregistrer toutes les donnée informatiques qui s’ajournait. le moment venu, il formaterait les parties des disques dures qui pourraient révéler son passage, et remplacerait le vide par ce qu’il avait enregistrer. Même si cela ce voyait que sa ce répétait, ce qu’il allait trafiquer ne laisserait aucun doute sur son intrusion. Tout ce qui comptait, c’était que l’on ne trouve pas ce qui c’était passer... comme son opération n’était pas des plus courte a réaliser, le temps de l’enregistrement qui allait être long, le pirate décida de sortir, et pour cela, il du ce résoudre a s’habiller... par dessus son gilet, Kénoni enfila donc une chemise, puis une veste bien carré qui dissimulerait a merveille le sur-volume crée par le kevlar. Enfin, le sourire au lèvre, Kénoni sortit de son étage puis de l’immeuble tranquillement. L’homme ce baladait dans les rues a profiter du temps qui ce voulait agréable... la chose qui était prévu pour le moment était simple: aller au parc qui était a quelques rues de là, et s’y reposer. Il commencerais a jouer avec la sécurité de ce casino autour de 14h. En attendant il allait profiter de la vie, simplement.