La forêt de cendre ...receuil de poème

Toi lumière de ma vie
Toi que j'ai connu ici
Tu es mon cœur
Tu domines mes peurs
Toi qui veille sur moi
Qui me serre dans tes bras
Tu m'avais confier une fois
Les tristesses ici-bas.
Tu m'as promis un paradis
Quelque chose mieux qu'ici
Et tu me la donné
Et tu m'as aimé
Aujourd'hui notre amour
Brillera pour toujours
Eclairant une nouvelle fois
Mon ciel de ta douce voix

Poupée de Porcelaine

Grande sœur, jolie poupée
Viendra l'heure de te jeter
Grande sœur , jolie poupée
Inutile et a jamais

Grande sœur, Jolie poupée
Tu es la plus détestée
Et tu finis par regretter
D'un jour avoir été crée

Grande sœur, jolie poupée
Viendra l'heure de te jeter
Grande sœur , jolie poupée
Inutile et a jamais

Petite sœur va s'occuper
de toi toute cette soirée
L'enfer va bientôt commencer
Prend garde a te préparer

Manah

Tu me ressembles
Tu as ce même regard ambre
La même vision que moi
Et les mêmes sentiments parfois

Je puis dire que je t'aime
Si je ne t'adore
Et que dès lors
Tout ce que je sème

N'a d'yeux que pour toi
Personne ne le niera
Tu as été mon alarme
Un être rempli de charme

Tu as été ma lumière
Aussi féline que les chats de gouttières
Et tu resteras mon ange
Toujours aussi frange

Je ne puis citer tes défauts
Tant tu as de qualités
Je ne peux dire combien tu vaux
Car je ne saurais décidé

Ton amitié n'a pas de prix
Mais d'amour pour toi j'envie
Même si cela est trop
Un peu trop beau

Je caresse ce rêves du bout des doigts
Un rêve me comblant d'émoi

Regret

Un ange c'est envolé
Loin c'est en aller
Quelques plumes il m'a laissé
Et un espoir à effleurer
Oui j'aurais voulu l'aimer
L'aimer,le sentir,le désirer
Mais le temps s'est arrêté
Pour ne plus jamais continuer
C'était la fin d'un été
La fin d'une douce pensée

Un souhait

J'aurais tant voulu qu'il me désire
Seulement pour me sentir vivre
Quelques secondes quelques instant
J'aurais vu mon monde différemment
Mais j'aurais aimé qu'il me rejette
Sans remord et qu'il me jette
Bien qu'après je le regrette
Je ne lui aurais pas voler la vedette
Finalement tous est fini
Et ma vie continue à tourner au ralenti

Un ange

Je marchais depuis si longtemps
Je ne voyais plus le temps
A vrai dire j'étais perdu
Le chemin continuait à perte de vue
Alors marchons marchons
Et ensuite nous verrons
Mais mes jambes faiblissaient
Peu à peu je sombrais
Je voulais mourir
Pour ne plus revenir
Alors il m'est apparu
Un ange qui m'était inconnu
Il ma tendu la main et ma relever
Il m'a dit que tous était du passé
Cette ma tendrement serrer
Je me suis senti divaguer
Il me ressemblait tant
Tellement s'en était troublant
En moi il voyait défaut et qualité
Tous les deux il appréciait
Pourquoi fallait-il qu'il en soit pareil
Je ne le connaissais que depuis la veille
Les mêmes sentiments, les même pensés
N'étais-je pas en train de rêver ?
Puis cette ange c'est envolé
Lui même bien trop troublé
C'était ce que je voulais
Mais ce que je craignais
Toujours sur ce sentier
Pas une qui vive à envier
Juste solitude pour me raccompagner
Sur ce chemin maudit pour l'éternité

Abandon

Qu'est-ce qui se passe j'ai raté une case
Tous autour de moi ce tasse
Qu'est-ce qui faut que je fasse
Je ne vais pas attendre que ça passe

Je me suis dit faut bouger
Faut plus attendre faut foncer
Même si sa peut au final blesser
Après tous sera terminer

Tous est prêt plus qu'à mettre le plan
Baisser les yeux et faire semblant
Dire l'inverse en mentant
Mais j'aurais voulu faire autrement

Comprenez-moi j'ai tous essayé
A force de réfléchir j'ai fini par tomber
C'était comme ça j'ai pas pu m'empêcher
A tout prix de vouloir vous protéger

C'est votre bonheur pas le mien enfin réfléchissez
Mais c'est fini vaut mieux pas trop demander
Je suis heureuse d'avoir pu me sacrifiez
Même si au fond je vous ais abandonné

Rejet

Jeter,abandonner
S'en aller,oublier
Sans jamais se retourner
Plus aucun mot échanger
A cause d'une différence
Retour à l'errance
Peur et ignorance
Tu fuis ma démence
Tu ne cherche pas à comprendre
C'est comme me vendre
Tu ne veux pas apprendre
Juste l'échappatoire à prendre
Tu ma rejeter
Ma souffrance tu ne la voyais
Ma peine tu t'en fichais
Tu m'as délaissé

Suicide

Aujourd'hui je ris
Demain je pleure
Aujourd'hui je suis
Et demain je meurs

A vrai dire disparue
Comme une vague ombre
Comme si on ne m'avait jamais connue
Mon esprit imprégner de désirs sombres

Tu retiens ma main
Un regard désespéré
Tu entrevois mon avenir prochain
Qui sera d'être enterrée

Essaye de comprendre
Dit moi adieu
Je ne veux plus voir ton sourire se fendre
Ni entendre tes tristes aveux

Rien ne me retient ici
Même pas toi
D'ici demain je serai parti
Mais aujourd'hui encore là

Solitude

Vide
Bientôt lucide
De ce qui se passe
Des journées qui se tasse

Les unes après les autres
Je me rend compte que c'est ma faute
Je n'aies pas essayé
Je n'aies pas voulu me tiré

De ma solitude
Pleine d'amertume
Elle m'envahit peu à peu
Et je m'éloigne encore d'eux

Qui ne me voient pas
Personne pour me sortir de là
C'est un mur invisible
Je deviens la cible

De nombreuses angoisses
Aucune d'elles ne passent
Elles s'accentuent
Jusqu'à être devenue

Une partie de moi
Qui ne me quittes pas
Aidez moi j'ai peur
Je ne vois plus les heures

Qui s'écoulent
Tels une foule
En furie qui s'en va
Et ne me remarque pas

Je suis oublié
On m'a abandonné
Dans ma solitude j'ai trouvé silence
Dans mon amertume un peu de sens

Pourquoi

Pourquoi ?
Je pensais t'oublier
Tout ça sens jamais
Me souvenir de toi

Anéantir mes sentiments
Les réduire en cendres
Tous les fendre
Avant,bien avant

Qu'ils ne m'enterrent
Me berce d'illusion
Me fasse perdre la raison
Enfermée dans une cage de verre

Et pourtant
Ils refont surface
On brisé la glace
Me plonge dans le tourment

Pourquoi ?
Reviennent-ils ...
Sentiments futiles
Ressentit pour toi

Qui me rejette
Qui ne veut comprendre
Mes sentiments tendres
Celui qui à jamais ne me regrette

Qui n'en n'a que faire
De moi maintenant
Vivant comme avant
Mais qui ne veut se taire

Tu penses que tu as raison
Et je sais que j'ai tort
Que c'est toi le plus fort
Mais à quoi bon ?

Pourquoi essayer ?
Maintenant c'est trop tard
La douleur ma piqué de son dard
A fait revenir les souvenirs refoulés

Pourquoi essayer de revenir ?
Avec toi à jamais
Avec toi j'ai abandonné
Par crainte du pire

Je veux te dire au revoir
T'effacer une nouvelle fois
Mais ce n'est pas facile croit moi
Je souhaite encore t'avoir

Pourquoi ?
Plus tu me hais plus je t'aime
A ton dégoût je m'enchaine
Pourquoi ne puis-je me séparer de toi ?

Me détacher de ton visage
Oublier tes traits
Les bons moment qu'on à fait
Effacer ton image

Pourquoi jamais je ne le pourrais
Peut être que je t'aime encore
Que je t'aime à tort
Personnes ne peux oublier

Surtout pas moi
Qui te portait un amour pur
Des roches les plus durs
Oui rien que pour toi

Pourquoi ?
Un malentendu à tout gâcher ?
La joie en mille éclats c'est briser
Pourquoi toi et moi

Sommes destinés
A nous détester
A ne plus se parler
Comme les pires damnés ?

Goutte

Perle écarlate au gout cuivré
Petite goutte qui est tombée
D'une chair toute meurtrie
Peut être une qui vie se finit
Elle vient de toucher le sol
Tacher le blanc d'une auréole
Goutte de sang termine ici
A jamais tombe dans l'oubli
Elle transportait un lourd fardeau
Et sous son poids mourra sitôt

Je disparais

Ça y est tu m'oublies
Je disparais petit à petit
De ton esprit
Je suis partie ...
Et de ton cœur
A la bonheur ...
Mais y ais-je un jour été ?
J'en à me le demander
Effacée des livres
M'as-tu oublié pour vivre ?
Ou par haine ?
Ton cœur toujours en peine...

Dans mon délire,dans ma folie !
Je tisse encore aujourd'hui
Des sentiments d'amour pour toi
Peut être ne le sais-tu pas
La musique tonne encore de son glas
Il fait de mon existence un sinistre trépas
De mon amour le pire des supplices
Le vieil enchanté au milles délices

De douleur,
De haine ou de peur,
De sacrifice,
Utilise tout ses artifices...

J'ai imaginé mon propre piège,
Pour m'enfermer dans un rêve,
Ou nous sommes ensemble....
C'est si beau j'en tremble !
Que nous, sans douleur,
Mon Dieu faites que cela dur des heures !


Mais je disparais ...
D'en toi
Je disparais...
Pourquoi
Je disparais ...
Je n'aies pas su te dire je t'aime
Amour,jalousie,haine
Tous c'est mélangé !
Pour nous mettre tout deux à l'apogée...

Mon cœur lâche ne sait plus
Comment aimer,il s'est dépourvue
De sensibilité,de pitié,
De sens et de gaieté,
Il ne fait que pleurer !
Car dans la liste il ne sait qui aimer,
Tant de gens à apprécier,
D'amour à partager,
Mais jamais renvoyer ...
Le maléfice est jeté...

Non ce n'est pas de ta faute,
Non ce n'est que la notre,
Manipulateur du destin,
Nous voulions tisser nos desseins,
Et ce fut l'échec final !
Apportant avec lui le mal !
Vous êtes pour moi l'incarnation de la liberté
Mais la vérité n'est-elle pas que vous êtes de pierre ?
Une paix qui est non fondée,
Mon existence à refaire entière

Entendez ma prière,
Je serai prête à me jeter à terre,
Brisez le moule de la création !
Sinon d'autres comme moi apparaîtrons....
Je n'aurais du naître...
Je veux disparaître...


Devenir invisible
Ou ne plus exister
Avoir une présence tangible
Dans le rêve que j'ai crée

Mais tout est irréel
N'ayant sa pareille
Démence m'emporte dans sa danse
Une nouvelle fois elle me balance
Dans sa lave surchauffée ...
Enflammant encore mon âme carbonisée

Esprit malade demande clémence,
Prie pour ne pas ajourner l'audience,
Elle attend le moment fatidique
Oui la succube abdique

J'attends ma punition : l'anathème
Plaise au Diable je fus amante du Blasphème
Dans un ultime soupire je deviens sereine
de ton cœur je ne désire plus être la reine

Qui marche seul renonce à ses envies;
Moi qui dès lors sombre dans l'oublie
Raye moi,raye mon nom du carnet
Un nouvel homme en toi naît

Le violon donne son derniers accord
De ton ombre,de ton cœur,de ton corps,
Je m'attache à contre sens
Je m'éloigne de l'entrense

Que quelqu'un me dévore
Mon cœur qui est mort
Ne bat plus, c'est arrêté
L'horloge cessa de tourner


Si tu vas bien je serais forte
Gardant la souffrance qui ma tué
Maintenant ferme la porte
Pour ensuite jeter la clé.

Souffrance d'un ami

Lui qui souffre dans l'ombre de son cœur,
Mais qui accepte tant de moi,
Lui qui ne semble n'avoir jamais peur,
Mais qui toujours m'aida,
Lui qui porte son fardeau,
Sans jamais fléchir,
Lui qui parle avec ses mots,
Sans jamais réfléchir,
Lui il s'appelle Hugo,
Je ne pourrais vous mentir,
Lui est l'un des plus beau,
Homme de l'avenir,
Gentil ou méchant,
Brute ou galant,
Simple et élégant,
Froid et aimant,
Seul le destin lui porta tort,
Et l'amour le trahit,
Et dans ce corps,
La douleur naquit,
Vraiment injuste est sa punition,
Qui lui envers les autre fut si bon,
Il l'est d'ailleurs encore,
Il est devenu fort,
Pour pouvoir son fardeau porté,
Pour ne jamais céder,
A la vie qui est cruelle,
Je me demande pourquoi,
Le destin lui porte querelle,
Je me demande pourquoi,
Hugo à du souffrir comme ça,
Et je prie pour que ça s'arrète là.

Tu as toujours été présent à mes côtés,
Chaque jours tu m'as si gentiment écouter,
On discutait de tous les possibles sujets,
Banalité jusqu'aux plus infimes regrets,

C'est devenu bien plus profond,
Par ma perversité il y eut contamination,
Notre complicité pour eux devint abomination,
Ils en étouffèrent quelques jurons,

Mais je m'en fou car je t'ai toi,
Je t'ai toi tout près de moi,

Et tu m'emmènes au septième ciel,
Dans une étreinte sans pareille,

Peut m'importe si c'est mal !
Peut m'importe si ça me sera fatal !

Car pour l'instant tu es le seul
Que je regretterai lors de mon dueil

Sur un fond de lierre le voici, comme le rubis d'un trésor, avec un rien de romantisme naturel, dangereuse comme une lame, avec ses épines incurvées, la Rose.

Mais ce n'est pas une effigie de mort : plutôt de passion, passionnée...
Un caractère de femme, aimant être belle.
Chaque pétale n'est aucunement sans inodore, mais, possédé par un parfum doux, une effluves sucrée si l'on veut, déployée de son flacon.

Les feuilles ont l'air agressives, charnues et cependant très tendres, plus intrigantes dès lors que d'autre branches, par là aussi attirantes. Et pourtant, il y a quelque chose actuellement de banal dans l'idée de la rose, c'est une fleur qui vient d'être banalisée.
...Comme le dahlia est la fleur des beaux jours, la rose est la fleur de l'amour.

( Parodie de " Le Mimosa" de Francis Ponge. ( la rage de l'expression )

Je plonge mon regard en lui,
Lit ses prunelles bleues nuit,
Sonde son visage de marbre blanc,
Et caresse ses cheveux noirs dansant,

Mille et une pensées s'éveillent en moi,
L'intarissable envie de baiser ses lèvres-là,
Monte en moi tel un fleuve d'amour débordant,
Imaginant sur les miennes leur amer chaleur d'amant,

Alors je penche mon visage tout près du sien,
Gardant ses yeux sans commune pareille dans les miens,
Son souffle chaud effleurait mon visage,
Une odeur d'homme musqué traversant les âges,

Ah si j'ose les toucher ! mes presser contre elles !
Mais la peur m'envahit et me fait querelle,
Je recule figée glacée d'une sombre angoisse,
Si bien et si fort que moi même je m'agace,

L'homme intrigué ne me répond mot,
Le silence que je laisse en disais un peu trop,
Ah si j'avais osé, si je l'avais embrassé,
Peut être que ce mortel m'aurait aimé.