on reprend une anciène histoire.... [Pv kiara]

Une fois encore, comme la première fois, Seiyoku était assise sur la plage, contemplant le large et le petit voilier d'un amateur qui voguait doucement sur la mer. Un petit bruissement dans le sable se fit entendre, Yoku-san tourna la tête et à sa grande surprise , c'était de nouveau lui. Cette homme qu'elle avait espéré plusieurs jours revoir. L'aveugle de la plage, une délicieuse rencontre qui s'était soldée par une tendre étreinte, ampli de passion et de plaisir surtout.

Discrète, silencieuse elle se leva et se glissa derrière lui. Elle eut tout le loisir d'observer son carnet ou il dessinait, et elle constata encore qu'elle n'était pas sur le croquis. Cela confirmait le fait qu'il ne l'avait pas sentit. Se penchant un peu plus dans son dos, ses cheveux longs et noirs vinrent frôler sa joue telle une caresse. Elle s'était habillée d'une simple robe blanche en dentelle, d'un tissus fin et doux et au bretelles larges, faites de ruban blanc qui venaient se nouer dans son cou. Seiyoku aimait cette robe, à chaque fois qu'elle l'a mettait, elle sentait que sa robe ne tenait que par un simple ruban frêle sur sa nuque, attaché en papillon gracieux. Elle ne portait pas de collant, le sable les aurait abîmé , elle était pied nue, dévoilant des jambes fines.

Yoku-san posa son menton sur l'épaule de Taku, glissant ses mains autours de sa taille.

“Bonjour... tu m'as encore oublié... je finirai par être vexée.”

le desseins avançais au crayon encore... c'étais une occupation qui lui plaisais mais il venais si souvent dans le coin que ces desseins avais beau être différent les uns des autres le peintre aveugle trouvais que sa tombais dans la "banalité" et leurs perte dans sa mémoire ne lui importerais probablement pas...
Alors qu'il affinais les trais des déplacement de sables se firent entendre décidément le champ de "vision" que lui offrais sa canne étais insuffisamment... l’infirme qu’il était avais encore rater quelque chose... continuant de dessiner Taku décida de réduire son attention sur ces bruit mais une sensibilité acquise avec le temps le "prévint" que quelqun était dans son dos... mais cette sensation fut elle aussi ignorée. Si cette personne aimais ce qu'il faisait pourquoi est ce qu'il le gênerait... mais quelque chose le surprit. En effet quelque chose de léger vint lui frôler la joue ce n'étais pas une main il n'en sentait pas la chaleur de plus cela avais un autre "comportement". Cette "chose" parti le jeune homme resta légèrement immobile intriguer et le fut encore plus lorsqu'il sentit quelque chose sur son épaule accompagner d'autre contacte l'un d’eux étais des mains qui venais doucement le ceinturer puis une voie lui rappelant des souvenir...se fit entendre...

“Bonjour... tu m'as encore oublié... je finirai par être vexée.”

la phrase permi bien mieux a Taku de se rappeler de qui c'étais les souvenir qui étaient simplement réapparus grouper avec ces mots il sourit a cette remarque...

“mais que veux tu si je devais dessiner la réalité des choses que je sais je ne dessinerais qu'une "vue" sur un rayon d'un mètre cinquante il vau bien que j'imagine et le silence religieux dont tu fais preuve ne me permet pas de te crée... mais en même temps sa me permet de dessiner plus facilement que ce jour ou la plage étais bondée...”

l'irruption de Séiyoku l'avais stopper dans son dessin qui représentais quand même déjà quelque chose.... il ne demanda pas si c'étais effectivement ce qu'il y avais le dessinateur était sûr qu'il n'avait pas suivi la réalité a 100% d'ailleurs rien que cette personne lui avais fait remarquer qu'il manquait un point et pas des moindre...

“Je vois ... mais en même temps je viens à peine de t'apercevoir, et je n'ai pas pour habitude de faire un boucan d'enfer sur une plage aussi paisible.”

Elle eut un petit sourire. Taku la reconnaissait, et ne l'avait pas oublié, c'était bon à entendre et à savoir. Elle resta dans cette position confortable, l'aveugle n'avait pas changé depuis les deux années qui s'étaient écoulées, son odeur était toujours la même, sa chaleur aussi, comme sa peau un peu rugueuse.

“Je t'ai attendu quand même bien longtemps, ma patience à des limites et je venais de les franchir...cependant je me disais que je regretterai de ne pas te revoir une nouvelle fois, Taku.”

Seiyoku fit migrer ses lèvres qui vinrent effleurer le lobe de son oreille, elle le savait très sensible au sons et au contact. Le souvenir d'une après-midi sur la plage, leur deux corps ondulant au soleil accompagné du cri des oiseaux revint dans sa mémoire comme les vagues qui s'échouaient sur la plage. Sa main droite vint se glisser sous son chemisier pour rester immobile sur son ventre, l'autre vint se poser sur la main du peintre pour faire monter un peu son croquis à la hauteur de ses yeux bleus perçant.

“J'étais juste....là ..." dit-elle en sortant sa main de son chemisier et prendre l'autre de Taku, guidant ses doigts sur le papier.

elle lui expliqua qu'elle n'avais pas pour habitude de faire du bruis lorsqu'elle étais seul dans un lieu tels que celui-ci elle lui dit ensuite qu'elle l'avais attendu bien longtemps... pourtant il étais arriver à Taku de revenir ici déjà peut-être étais-ce a ces heurs si décaler des sienne qu'il arrivait après son départ ou bien qu'il repartais avant son arriver...
coi qu'il en sois ils avaient passer ce temps a ce manquer il ne senti plus le menton de la jeune femme sur son épaule quelques instant avant de sentir ces lèvres sur son oreille malgré que ce sois les oreille toucher l’infirme arrivais a reconnaître cette partie a la texture spécifique de la jeune femme son état d'aveugle et la vision du monde qu'il avais lui permirent grasse aussi un peut a ces souvenir a imaginer la position de Seiyoku dans son dos chose qu’il n’est pas capable de faire avec les inconnues...
une des main le ceinturant vint se poser directement sur son ventre l’autre pris sa main qui tenais encore le dessin et la leva Taku laissa faire cela ne le dérangeais plus il ne dessinais pas actuellement... puis celle qui c'étais poser sur son ventre parti prendre son autre main et la plaça quelque par sur le dessins alors qu'elle lui disais qu'elle étais a cet emplacement Taku "voyais" a peut près l'endroit dont elle parlais encore une foie ce n'étais pas passer loin...
il ce libéra les mains de la douce étreinte de celle de Seiyoku et les ramena ver sa pochette et pris la feuille qui étais le plus au fond de la pochette pour l’en sortir
si elle avait très bonne mémoire elle aurais reconnu le dessin que faisais Taku lors de leurs première rencontre mais avec une importante différence... un personnage avais fais son apparition une femme vue de dos assise les jambes étendu et croiser au niveau des pied...
une serviette autour de la taille, et un maillot se voyant en haut. De long cheveux foncer qui semblais voler au grée d'une douce bise... la jeune femme regardais un peut en l'aire a en juger l'inclinaison de sa tête... et l'inclinaison des cheveux due au vent laissais apparaître une petite marque dans le dos de la jeune personne.... Taku le lui tendit avec un sourire

“je n'ais pas besoin de lui pour m'en rappeler prend le. de toute façon si je le garderais il risquerais de finir par tomber dans l'oublis mais tans que quelqun pourra le voir alors il vivra...”

avec un petit peut de réflection voir aucune Seiyoku devrais se reconnaître a la cicatrice près... l’aveugle attendit un peut pour qu'elle se rende compte elle même de qui c'étais puis il ponta son doit un peut en dessous de ce trais dans le dos et repris gentiment... avec un sourire toujours aussi amicale

“peut importe leurs ancienneté la peau qui couvre sur les anciennes blessures autrement dit les cicatrices ont toujours un petit quelque chose dans leurs texture qui me les fais différentier du reste d'un corp...”

“Alors ce jour là tu l'avais bien sentie, cette cicatrice dans mon dos...”

Seiyoku regarda attentivement le dessin, d'un regard doux et nostalgique.

“Cette cicatrice, c'est un vieux souvenir qui ne me quittera jamais.”

Rangea le dessin avec soin et délicatesse, elle revint contre Taku, cette fois-ci s'appuyant contre son torse, la joue dans le creux de son épaule. Elle ferma les yeux, comme pour se rappeler un peu mieux des évènements.

“Je devais être au lycée, ma première année. Je trainais avec des gens pas net...pour ne pas dire louche. Une nuit on entra tous dans notre salle de classe, et là ils décidèrent qu'on devait versé le sang pour effacer nos crimes. Chacun d'entre eux se tailladèrent le bras de manière verticale et profonde, je fus convié à le faire également, étrangement, la sensation de la lame sur ma peau me fit frissonner, j'avais mal et en même je me sentais libérée.”

Rouvrant les yeux, la demoiselle regarda sa paume.

“Cette nuit là j'ai compris que j'étais masochiste. L'un d'entre eux à saisit un couteau,il me poignarda dans le dos, et trancha ma chair en descendant. Il m'expliqua alors que je gisais au sol que j'étais le sacrifice final. On me laissa pour morte, couverte de semence et de sang. A ce moment là j'eus tout le loisir de comprendre ce qui m'avait poussé à rejoindre ce groupe, ce qui m'avait poussé à accepter ça mais aussi à réfléchir à propos de moi même.”

Sa joue se frotta contre l'épaule de Taku, et vint appuyer un peu pour que celui-ci s'allonge sur le dos. Se reposant ainsi à ses côtés, elle cala l'une de ses jambes sur les siennes, genoux pliés.

“C'est à ce moment là que je suis née, une renaissance plutôt. Je suis devenue moi, c'est un souvenir douloureux et en même temps très doux.”

Glisse de nouveau l'une de ses mains dans son chemisier, mais cette fois-ci au niveau du torse, elle le caressa doucement.

“Tu trouves ça étranges ? ou malsain ? moi je trouve ça un peu pathétique.”

Taku écouta le récit de Seiyoku sans l'interrompre sentant la joue de la jeune femme sur son épaule... une foie que cela ce finit elle le poussa pour qu'il se mettes sur le dos a nouveau l’aveugle ressentit cette sensation désagréable lors de la chute... tomber, ne plus être totalement maître de sois, de ce qu'on fais, même un cour instant, cela lui procurais une terrible sensation de frustration s'apparentant parfois a de la peur... mais une foie a terre il se rendit compte qu'elle l'avais suivi dans sa chute ce qui lui fit reprendre son calme... son récit ce clos par une question qui le surprit un peut... Taku se donna donc le temps de réfléchir un peut avant de l'ouvrir...

“les yeux sont leurable les autres sens le sont plus difficilement...”

il prit une inspiration et espérais ne pas déraper...

“c'est un passée que je jugerais de tragique si c'étais le mieux et que j'avais ma vision actuel des choses...

Etrange? qu'est ce qui ne l'est pas plus que les êtres humains...

Malsain? en vertu de coi? la douleur fais que le corp crée un des composant de la morphine et il arrive que certaines personne deviennes "accro" a la morphine... je suppose donc que cet élément chimique peut provoquer un sentiment de plaisir cher des gents cette sensation viens dont de ton organisme pas de ton esprit ou ton âme...

Pathétique? la volonté de vouloir dessiner une réalité que l'on ne peut pas voir n'est-elle pas elle non plus une volonté qui est exprimer par quelqun de pathétique?
je ne pourrais faire a qui que se sois ce que tu a subit et si cela t'a rendu heureuse... je ne pourrais pas te le refaire revivre... sauf en de très rares occasion qui n'arriveront j'espères pas...”

ces yeux étais diriger ver le ciel pendant qu'il parlait et le jeune homme espérait avoir réussi a répondre a la question qu'il avait trouver "difficile"

Seiyoku resta silencieuse un moment, il avait dit les mots qu'elle avait espéré entendre, elle ne voulait pas qu'il la quitte, surtout qu'après deux ans, elle l'avait retrouvé. Elle redressa le nez vers le visage de l'aveugle, il fixait le vide, le ciel, sans rien voir et en voyant pourtant. Yoku-san voulait savoir ce qu'il voyait lui, elle voulait juste quelques instants entrer dans son monde et pourquoi ressentir les mêmes choses que lui. Taku Takashi... cette homme lui était devenu cher un jour d'été sur une plage, à peine rencontrer ils s'étaient longuement étreint sur le sable, et aussitôt aimer, ils s'étaient séparer. On pourrait dire que c'était la fatalité qui avait organisé leur rencontre. Quel hasard insensé... un aveugle comme lui, et une métisse comme elle. La jeune femme soupira.

" Merci. "

Elle se redressa légèrement, s'appuyant sur son coude et laissant sa main au chaud sous son chemisier.

" Tu sais...on est dans la même chambre cette année. Je suis revenue il y a peu, et j'ai vu nos deux noms sur la fiche du pensionnat. "

Elle afficha un sourire malicieux.


" Cela m'a beaucoup surpris, je ne m'attendais vraiment pas à cela. Le destin est farceur... "

A voir la réaction de l'aveugle, il ne devait pas être au courant, Seiyoku en fut amusée.

Après un léger soupir Seyoku le remercia cela soulagea un peut l’aveugle qui avec le silence se demandait si il avait fait une gaffe selon les quelques bruis du sable et ne sentant plus la tête de Seyoku sur son épaule Taku se dit qu’elle c’était redresser mais pas de trop en effet sa main étais toujours présente sur sa peau la jeune femme lui annonça qu’ils étaient tout les deux dans la même chambre apparemment elle l’avait vue sur la fiche... cette nouvelle fut accueillit par une courte expression de surprise remplacer rapidement par un sourire... Taku savait que des transfère allaient avoir lieux a partir de ce soir et être avec elle étais vraiment une bonne nouvelle... Seiyoku dit ensuite qu’elle avais elle même été surprise par le résulta et ajouta que le destin étais farceur il répondit alors.

“J’étais au courant des transfère mais pas de cette excellente nouvelle.”

puis il repris quand a son commentaire sur le destin

“le destin? Farceur? Peut-être mais cette foie la farce est des plus plaisante et je ne compte pas m’en plaindre qui le ferais?”

C’est a ce moment la qu’il repensa qu’il avais beau savoir qu’il y aurais des transfère et il avais beau savoir que Seyoku étais avec lui; lui ne savais pas ou il étais.... mais cela étais très remédiable

“dit moi... puisque l’on va dormir dans la même pièce... tu pourrais m’y guider sa m’évitera d’être pris au dépourvut le moment venu...”

Seiyoku hocha de la tête.

"Je n'y vois aucun inconvénient Taku. "

Tout deux vivaient dans la même pension dans le sud de Kyoto, le pensionnat Kiniiru qui accueillait des élèves comme des professeurs et d'autres gens en voyage. Une sorte d'hôtel ou appartement à louer. Se levant, la jeune femme prit la main de l'aveugle et l'aida à se redresser, gardant cette main dans la sienne, elle le guida jusqu'à la bâtisse.
Seiyoku marchait dans le couloir au côté de Taku, quand elle s'arrêta, elle fit arrêté son ami en lui prenant doucement le poignet, puis elle guida sa main sur la plaque sur la porte.

Chambre numéro une.

Elle fit migrer sa main sur le côté pour une autre plaque.

Et ici ce sont nos noms. Nous y voici Taku, la chambre que nous allons partager.

Prenant sa clé, elle ouvrit la porte et laissa l'aveugle passer en premier, elle prit soin de refermer la porte derrière elle. Seiyoku regarda la chambre, elle était grande, possédant quatre lits qui lui semblait un peu serré pour y accueillir deux personnes. Les draps étaient blancs, les meubles simples...en faite ce n'était qu'une chambre comme les autres dans la pension, pas de quoi s'extasier ni se renfrogner.

Elle est plutôt grande, même à quatre on aura encore de la place. C'est plutôt pas mal.

Yoku-san souria avec douceur, s'asseyant sur un lit qu'elle considéra dès lors comme sien. Elle observa l'aveugle sans avoir un regard trop insistant.

accompagner de Seiyoku Taku parcouraient les couloirs de la pension jusqu'a l'endroit ou devais se trouver les chambres... elle guida sa main sur la porte lui disant que c'étais la numéro une, puis à cotée sur une plaque ou étais inscrit le nom des pensionnaire ces doits passant dans les creux des trais des caractère il parvint a les reformer mentalement et a les interprétée. il entendit le verrou se défaire avec la clef puis la porte s'ouvrir... comme Seiyoku ne semblait pas s'engager Taku en déduis qu'elle voulait qu'il passe en premier ce que l’aveugle fit donc il s'avança un peut afin qu'elle même puisse a son tour rentrée... et il entendit la porte se refermer derrière eux... Taku s'avança encore un peut espérant pas ce prendre un lit dans le genoux en effet l’aveugle n'utilisais pas sa canne... puis il décida de cesser la l'incertitude et se tourna en direction de l'endroit ou devais "normalement" être seiyoku qu'il avait entendu ce placer sur ce qui semblais être un des lits...

dit... est ce que tu peut me décrire a coi ressemble cette chambre... où sont les lit, les armoires... au cas ou ce ne serais pas la même que l'autre... j'étais arriver seul la dernière foie et ma cane ma dit qu'il y avais quelque chose au sol mais pas que c'étais une armoire et non un lit...

Taku ne préféra pas aller plus loin lors de ces premières mésaventures ici c'étais déjà pas vraiment joyeux...

Eh bien...

Seiyoku se leva et vint se coller à lui tendrement, posant son menton sur son épaule,le souffle près de son oreille. Il sentait bon, et le guider était un véritable délice. Elle l'emmena près de chaque lit, le bras longeant le sien pour poser sa main sur le revers de la sienne. Elle le fit toucher les draps de chacun, la paume à plat sur le tissus, les doigts caressant toute la structure du lit.

Ici ce sont les lits...

Séparant les lits qui était par deux, il y avait une commode pour chacun des couples. Elle n'oublia pas ce détail bien entendu. Se dirigeant au fond de la pièce, elle lui fit toucher la porte d'un des deux placards, venant aussi saisir la poignée.

Le placard au fond à droite...six étagères sur le côté gauche et une penderie sur la droite.

Yoku-san répéta l'opération pour l'autre placard. Elle fit longé les murs à Taku, toujours collé à lui. La jeune fille ne sauterait pas sur Taku, même si l'envie ne lui manquait pas, elle s'était promise que cette fois-ci ce serait l'homme qui ferait un pas vers elle, et non l'inverse. Elle voulait tester à quel point il pourrait s'engager vers elle, à quel point il pouvait l'apprécier, l'aimer.

L'interrupteur à droite de la porte en sortant...et je pense qu'on a fait le tour.

Elle se détacha doucement de lui, soufflant légèrement sur sa nuque. Cependant elle n'était pas là, juste à quelques centimètres de lui.

Taku s'attendait juste à avoir une description orale de la pièce c'est ce pour quoi il fut agréablement surprit lorsqu'elle se colla derrière lui et lui fit "explorer" la chambre et non simplement la décrire... la disposition des lits changeait légèrement de celle où il était avant, les placard étaient les mêmes et l'interrupteur au même endroit... une foie la visite terminer il lui fallut un petit instant pour tout remettre en place correctement Taku avait du se "forcer" à rester concentrer sur ces mains qu'ailleurs... une fois la "visite" terminée il savait que Seiyoku avait reculé par deux chose... le souffle qu'il sentait étais trop nettement diriger et aussi simplement il avait quand même entendu les pas se poser au sol.

Sympathique chambre...

Si il n'avait pas été trop distrait l’aveugle se savait actuellement en face de la porte de sortit il se retourna faisant donc face à Seiyoku , contournant Seiyoku par sa gauche à elle, et sans vraiment s'en rendre compte il avait lever la main et au moment ou la contournais le bout de ces doigts vinrent frôler sa joue droite descendant passant sous le menton puis repartant... Taku ne prit réellement conscience de ce geste qu'une fois que son bras était revenu à lui, légèrement troubler par cet "acte manquer" il préféra reprendre sa route longeant les murs en tournant à droite et posa sa canne dans le coin que formait le mur et la table de chevet du lit qui se trouvait donc le plus à droite lorsque l'on rentrait question pratique...

Je pense que j'irais récupérer la clef et transférer mes affaires dans un moment rien de presse....

Le petit frôlement que venait de lui Taku l'avait fait longuement frissonner. Elle finit par se demander si ce geste était volontaire ou inconscient. Peu importe il avait été fait, et laissait une sorte de brulure agréable sur l'endroit touché. Yoku-san pivota sur elle même , suivant du regard le jeune homme.

D'accord, si tu as besoin d'un coup de main...tu n'as qu'à me le demander. J'ai déjà tout déplacé moi, donc j'ai du temps à perdre.

Elle eut un léger rire, qui eut pour dons d'adoucir un peu plus l'atmosphère. Elle se déplaça vers son lit et chercha une malle en dessous , tirant dessus elle la sortit. C'était une grosse mallette qui supposait contenir un instrument de musique.

Il n'y a pas si longtemps, j'ai pris des cours de violon. Je me suis passionnée pour tous les types, mais je me suis plus attaché à un morceau en particulier.

Seiyoku sortit le violon de son étui, s'installa sur lit comme il fallait et accorda les cordes un petit moment avant de commencer un jouer un morceau .

Bach , cello...

La mélodie résonnait doucement dans la chambre, amplissant l'air de sa symphonie.

Seiyoku lui proposa son aide pour le transfère disant qu'elle avait déjà fais cela pour elle et qu'elle avait du temps a perdre. A cette remarque elle rie. peut après, il entendit le bruis d'une mâle que l'on tirais du sol. Mâle qui fut ouverte peut après. Seiyoku lui expliqua qu'elle avais pris des cours de violon, appréciant un peut tout les types de musiques, mais lui disant avoir une appréciation particulière pour un morceau en particulier... peut après le violon se fit entendre, l’aveugle se doutais qu'il s'agissais de ce morceau dont elle parlais...
Taku aimait la musique, enfin tans qu'il n'avait pas à ce déplacer... ou qu'il étais seul... elle couvre généralement les bruits qui le permettes de ne pas "déranger" les autres convives. Il apprécia cette mélodie du début a la fin n'osant déranger la musicienne a l'oeuvre... Il n'applaudit pas a la fin du morceau, mais garda le sourire serin qu'il avais pris pendant le morceau...

très bien interprétée. le violon et le piano font parti des instrument qui ont des sonorité qui me plaise bien, mais le piano a queue se détache en mieux du piano droit...

il se tourna ver Seiyoku

si mes parent ont dit vrais, il m'est arriver d'écouter pendant un peut plus de 24h d'affilée de la musique classique. Temps durant le quelle j'ais dessiner ce que m'inspirais ces musique... cependant... aucune d'entre elle me fit faire ce dessein que j'ais il semblerais dessiner la seule foie ou je fut en état d'ébriété. Je ne me rappel pas l'avoir dessiner, et aujourd'hui encore il me laisse un sentiment de frustration. Il se trouve parmi mes affaire, je voue le montrerais quand elles seront la si cela vous intéresse.

ce desseins... elle étais peut être la première personne en dehors du cercle familial a qui il en parlais, il faut dire qu'il n'étais pas banal. C'est pour cela qu'il n'en parlais pas généralement

Yoku-san sourit en rangeant l'instrument soigneusement dans sa malle, le remettant sous son lit.

Ce sera avec plaisir Taku !

La demoiselle se rendit compte qu'il commençait à être l'heure d'aller dîner, et que le soir tombait avec douceur sur eux. Le temps avait vite passé, sans qu'elle s'en soit réellement rendue compte. Rangeant le dessin que Taku lui avait donné à la plage, elle alla chercher son porte monnaie et saisit la main de l'aveugle.

Il est tard... cela te dirait un repas ? tu dois avoir faim...un peu comme moi.

Elle attendit calmement sa réponse, un peu impatiente d'aller au restaurant tant son ventre criait déjà sa famine pour elle. Elle n'avait pas déjeuner, trop préoccupée à retrouver cette homme pour avoir faim, mais dès lors, elle se sentait un peu plus sereine, en sa présence. Seiyoku l'avait retrouvé, elle avait retrouvé Taku Takashi et elle n'était pas prête de le lâcher, cette aveugle pour lequel elle avait tant d'attirance.

Je t'invite au restaurant, si tu le veux bien, bien sûre.

Seiyoku accepta qu'il lui montre ce dessins, alors qu'elle rangeais le violon dans la malle qui semblais être retourner sous le lit. Elle vint lui prendre la main, et lui proposa un repas. Effectivement, l’aveugle avais un peut faim. il avais manger correctement a midi, mais il semblerais que ce qu'il avait ingérer ais atteignais ces limite. Il se leva et saisi quand même sa canne... puis elle lui proposa d'aller au restaurant... il répondit amicalement.

“ce sera avec plaisir.”

il répondait sa, mais pour lui, un restaurant seul étais impensable. Seul en tout cas. E effet les menu plastifier n'étais que blanc pour lui, et les plat décorée sont une plais a manger, car il faut chercher parfois -même dans son assiette- ce qu'il y a à manger... mais Taku ne fit pourtant pas pars de ces inconvénient a la jeune femme. Il ferais des effort, et demanderais assistance en cas d'obstacle insurmontable....

“mais avant, est-ce qu'il serais possible de déplacer quelques unes de mes affaires ici. Je pence qu'a notre retour, les autres pensionnaires dormant dans la chambre seront arriver. et je ne voudraient pas trouver quelqu’un déjà endormit dans ce lit

Seiyoku lui sourit, même si elle savait qu'il ne voyait pas ce sourire, c'était un réflexe, quelques choses de naturelle pour elle. La jeune fille accompagna Taku pour le déménagement, l'aidant à transporter ses affaires et à les placer dans la chambre. Son lit était juste à côté du sien, aussi ils partageaient la table de chevet. Transporter et ranger leur prit bien une heure à tout casser. Yoku-san se redressa en faisant brailler sa robe.

Ah enfin fini...

La demoiselle enfila une paire de chaussure à talon et entraina Taku en dehors de la chambre, fermant à clé.

Mh je connais un bon restaurant, il est très calme ! et leur plats sont délicieux sans être trop compliqué. A vrai dire c'est un restaurant un peu spécial, ils ne sont pas extravagant dans la décoration et vous donne à manger pour ce que vous payez ! mais surtout il y a un self service de très bonne qualité.

Elle eut un léger rire.

Ne t'inquiète pas Taku-sama, ce n'est pas un restaurant bruyant ou ton ouïe sera perturber, et tu pourra t'y retrouver facilement. Je ne te ferai pas prendre un tel risque.

Seiyoku lui prit délicatement la main et ils s'éloignèrent de la chambre en marchant tranquillement, elle le guidait avec douceur sans le brusquer.

Seiyoku entraîna donc Taku hors de la pension, puis a travers les rues de la ville pour l'emmener au restaurant ou ils allaient dîner ce soir. Elle marchais a son rythme, lui, suivais la direction qu’elle lui indiquais. C’étais reposant... Il ne faisais attention qu’aux objet devant lui avec sa canne. Le reste lui étais soigneusement indiquer par la jeune femme qui l’accompagnais. Il n'était pas spécialement tard, et il y avais encore des gens dans les rues. L’aveugle savais qu'il arrivais que des regard se pose sur lui, il le sentais, mais leurs impact étais moindre tel qu'il étais accompagner. Au bout d'un peut de marche, elle lui annonçât qu'ils arrivaient. À ce qu'il écoutait de dehors, effectivement ce n'étais pas la grande fête à l'intérieure. Tans mieux, l’aveugle ne savait pas ou étais la porte ni comment elle s'ouvrait et resta un instant plantée là. Puis sans vraiment savoir pourquoi il voulut "avertir" celle qui l’accompagnait de ce qu'elle "risquait" a entrée. Sans pour autant prendre un ton grave mais plus tôt avec un peut d'humour par dérision...

“Sache que parmi tout les lieux publique possible, le restaurant est peut-être celui dans le quelle je peut le moins me débrouiller seul. Tu comprendra bien vite a quelle point je suis désarmée dans un lieu tels que celui-ci...
À moins que le bâtiment sois correctement équiper pour les aveugles. Et cela est rare, les personnes en fauteuil roulant ont parfois plus de commodités que j’en ais pour sortir. Mais comme je ne sort pas beaucoup je ne suis pas bien déranger par ces manques”

Seiyoku haussa des épaules.

C'est vrai qu'ils ne sont pas équipé ! mais j'ai une table rien que pour moi à l'écart des autres clients, et ce n'est pas elle à côté des toilettes je te rassure.

Elle ria un peu avant de pousser la porte en le faisant passer en premier.

Et puis, si tu as des difficultés, je serai toujours là pour te guider... non ?

La demoiselle serrant la main du jeune homme, l'emmena dans une table loin d'un client, assez loin pour ne pas être vu, ni entendu par ailleurs. Saisissant la main de l'aveugle, elle lui fit découvrir les lieux et la disposition de la table.

Là les verres .... couteaux...fourchette...et nos deux chaises qui sont l'une à côté de l'autre. Il n'y a pas de lumière sur la table, elle provient du plafond alors tu n'as pas à avoir peur de mettre le feu !

Seiyoku le fit s'assoir et s'assit à sa suite. La dame prit le menu et stylo, elle prit soin de repasser toute les lettres, provocant de petit fossé sur le plastique avant de tendre le menu rafistolé à Taku.

Et voila ! j'espère que c'est réussi !

Taku entrât dans le restaurant, Seiyoku le guidant toujours. Elle lui avait dit qu'elle avait sa table à elle... Elle devais être une habituée. Puis elle le conduit a la dite table. Elle lui fit "découvrir" les lieux, les endroit où étaient les couverts et les vers. Elle lui expliqua que les lampes étaient au plafond. Pas de bougie comme a certains endroit, pas même des fausse. Il ne risquais donc pas de provoquer des accident plus grave, que renverser un vert... Seiyoku allât même plus loin que l’aveugle ne l'aurais jamais espérée. À tel point qu'il se senti gêner lorsqu'elle le fit s'asseoir... Mais il se tue. Elle en faisait plus que nécessaire, il n'avait par conséquent, aucune raison de ce plaindre. Il ne voulait pas la froisser dans sa bonté non plus... Elle s'assit peut après lui, et fit quelque chose qu'il ne comprit pas tout de suite. Mais lorsqu'il se saisit avec plus ou moins de succès du menu, l’aveugle comprit tout de suite... Taku sentais les caractères informatique en déformation dans le plastique, ce qui allais lui permettre de lire ce qui y est écrit.

“C'est plus que je ne l'espérais. Merci.”

Taku parcourut le menu, du bout des doigts, afin de savoir sur quel caractère il passais. Petit a petit, il reconstruisait les mots, lui indiquant les plats et menu. Il y vais plusieurs plats apprêtassent mais il continua sa "lecture" avant de ce décidée

“Tu mange souvent ici?”

Parler le distrayait un peut, mais il essayait de garder en tête ce qu'il y avais sur le menu. Ou tout du moins ce qui avais attirer son attention.

Seiyoku était pleinement satisfaite de la situation, elle trouvait qu'elle gérait assez bien la chose et qu'elle facilitait la tâche à Taku. Cependant elle était consciente qu'un tel intérêt pouvait le gêner, aussi le laissa-t-elle choisir tranquillement.

Oui souvent, je suis une habituée résultat j'ai des réductions.

La demoiselle sourit en furetant le menu, regardant les plats proposées avec attention. Finalement elle déposa la carte sur la table en déclarant.

Je prendrai du Yakiniku ( viande grillé épicée servit avec un bol de riz ) avec une bouteille de vodka et des o-dangos ( riz gluant grillé en brochette, désert sucré ) pour finir.

Yoku-san se laissa adosser contre sa chaise, le bois ne craquant pas sous son poids, elle soupira un peu avant de se tourner vers Taku.

Si tu t'inquiète pour l'alcool ne t'en fait pas, je ne serai pas saoul ... sinon que choisis-tu ? c'est moi qui invite alors tu peux prendre ce que tu veux.

La jeune fille avait fait exprès de ne pas repassé les prix des plats, histoires de ne pas inquiété l'aveugle à propos de l'argent.

Lors de son parcours, Taku avais remarquer l'absence de nombre, donc de prix, sur le menu. Elle lui dit qu'effectivement elle étais une habituer, ce qui lui offrais des réduction. Quelques instant après elle annonça sa commande, et anticipât son appréhension quand a la bouteille de vodka en lui assurant qu'elle ne serais pas saoul... Il l'espérai un peut aussi, il continua a parcourir le menu, une foie qu'il eut fini il posa le menu réfléchissant. Même si il n'y avais pas de prix, il connaissais la construction des menus en général. À savoir que les plats étais ordonner, du plus chère, au moins chère... Et en y repensant, avec ce qu'il avais "lut", la tendance semblais ce confirmer. Cependant il ce décida a respecter la volonté de Seiyoku, et fit donc son chois sans se soucier de l’emplacement des plat qu’il prenais...

“Dans ce cas, je prendrais du Yakitori, ( Ce sont des brochettes de poulet recouvertes d'une sauce.) une simple cruche d'eau, et des o-dangos comme toi”

Seiyoku donna leur commande à un serveur qui vint les voir. Rapidement la cruche d'eau et la bouteille de vodka arrivèrent sur la table. La demoiselle versa un verre d'eau à Taku et un verre de vodka pour elle même, elle guida la main de l'aveugle sur le verre pour éviter que celui-ci ne le renverse en le cherchant.

Nos plats arriveront dans peu de temps, le service est rapide, aimable et agréable.

La demoiselle but une gorgée, s'en délectant.

Jusqu'à quand comptes-tu rester à Kiniiru si je puis me permettre ? Il y a 2 ans tu étais déjà là... je me posais un peu la question...

Seiyoku passa sa main dans ses cheveux, les plaçant derrière ses épaules nerveusement. La pièce avait des lumières tamisée, et l'ambiance y était chaude et très adulte si on peut dire ça comme ça. La jeune femme laissait ses doigts parcourir les bords du verre, son index produisant un son très fin sur la surface.

Je voulais aussi te prévenir, la nuit , si je dors, j'ai le sommeil agité ...alors je m'en excuse d'avance.

Elle passa sa main dans ses cheveux d'une manière assez nerveuse.

Les boissons arrivèrent, seiyoku guida sa main vers son verre, il n'en but pas, mais mémorisa la position de son bras afin de le retrouver quand il aurait soif. Seiyoku lui demandat combien de temps il comptait rester dans la pension, étant donnée que sa faisait déjà deux ans que lui y dormait. Il répondit gentiment....

“bah... on va attendre que les parent juges qu'il faille que je change a nouveau de paysage... C'est cette raison qui ma conduit ici, ils ont du mal a comprendre qu'un lieu ne m'est pas nécessaire pour le dessiner. Bien que je doit admettre que les dessins que j'ai fais ici sont différent de chez moi, a moins que quelque chose ne me tiennes vraiment ici, si jamais ils me propose de voyager a nouveau, je ne verrais rien a leurs opposer et repartirais sûrement.”

un peut avant son explication, Seiyoku l'avait avertie du peut de sommeil qu'elle avait, et que ce dernier étais pour le moins agiter...

“Moi même dort que peut, mais sa tombe a un peut n'importe quelle heure. Et je suis pire que toi des foie, dans le sens où, quand je me réveille a 3h du mat, je me comporte presque comme si c'était 8h. Mais ne t'en fais pas, je n'ai pas pour habitude d'allumer les lampes....”