on reprend une anciène histoire.... [Pv kiara]

Je vois ! mais ça ne me dérange pas particulièrement ne t'en fait pas, Taku.

Un silence tomba, Seiyoku-san ne savait plus quoi lui dire, quel thème aborder sans que cela soit indélicat de sa part. Comme pour la sauver de l'embarra, le serveur revint avec les plats, les alignant sur la table . Le Yakitori et le Yakiniku encore fumant dégageaient une odeur succulente.

Bien ! voila nos plats !

Seiyoku servit Taku et se servit elle même à l'occasion, mangeant un morceau elle afficha un sourire. La qualité n'avait pas changé, le goût toujours délicieux et bien prononcer, à chaque fois qu'elle venait la jeune fille sentait tous ses sens êtres en accord parfait, ce qui était des plus agréable.

Mh...vraiment bon...

Yoku-san avait déjà montrer la disposition des couverts et des plats à Taku, par ce fait elle se douta qu'il n'aurait aucun problème à se repérer.

Eh bien...mangeons !

La demoiselle saisit une paire de baguette.

Taku avait sentit le "blanc" qui arrivait après que Seiyoku l’ais rassurer en lui disant que son peut de sommeil ne la dérangerais sûrement pas. Puis les plats arrivèrent, elle finit finalement par "ouvrir" le repas de par sa phrase "et bien mangeons". Ils entamèrent tout les deux leurs plats respectifs Taku, arriva assez aisément a utiliser les couvert, il en avais l'habitude il ne vivais pas que de sandwich.

“j'admets que la cuisine est bonne”

puis une "idée" lui vint pour briser le silence qu'il commençait un peut a trouver pesant. Le dessins dont il lui vais parler avant de partir...

“Tu te rappel du dessins je te parlais, avant que l'on vienne ici? je voulais avant de te le montrée, te raconter son "histoire".
Il est la principale raison pour la quelle je ne touche pas a l'accole... ou plus, si on veut être plus précis. Car la première foie que j'ai but, je ne m'en souviens pas. Enfin pas de tout. Et ce qui c'est passer, c'est que je me suis réveiller, dans ma chambre, sans que je sache pourquoi. Et j'ai trouver dans ma poche, une feuille...
Et il ce trouve qu'il y avais un dessins dessus. Hors, je me rappelais pas l'avoir fait. Frustrer, j'ai demander a ce que l'on me le mette en relief, afin que je sache a quoi cela ressemblais... J'aurais peut-être pas dut. Car le résulta fut plus frustrant encore. Ce dessins représentais, en contre plonger, dans une rue, une femme. Vue de dos, en robe de soirée légèrement fendu en bas, portant des chaussures a talon haut et des cheveux descendant jusqu'à la moitié de son dos...

C'était la première foie que je dessinais un corps complet, et je ne me rappelais pas. Comment cette forme avait put se faire connaître de moi? Aucune idée. Pourtant elle était la... et au aujourd'hui encore, je me le demande sans comprendre...”

Taku avais dit cela sans toucher a son plat. Mais lorsqu'il eu fini il se retourna face a la table avant de finir son verre fébrilement. Depuis le début de l'après-midi, son expression étais pour la première foie assez sombre. Décidément, cette histoire ne passait pas...

"Maintenant que tu viens de me raconter son histoire, j'ai d'autant plus envie de le voir. "

Elle prit une bouchée qu'elle mâcha soigneusement en observant le visage de son interlocuteur. Il était sombre, voir même dépressif, Seiyoku-san en perdit le sourire. Même en sa présence, Taku n'était pas vraiment heureux. Dans ce genre de situation, la jeune femme se sentait disparaître du champ de vision de la personne, et ici c'était encore plus le cas, celui-ci étant aveugle. Déjà adossée contre sa chaise, elle aurait voulu s'y appuyer encore un peu plus, cherchant un peu de réconfort. Soudainement, Yoku-san se sentit idiote, ce n'était pas à elle de cherchait du réconfort mais à Taku.

"Tu sais Taku... "

Seiyoku fit une pause avant de reprendre.

" Peut être que aujourd'hui tu ne comprends pas, mais tu finiras pas comprendre. Et si plus tard, dans quelques années, tu ne comprends toujours pas, alors ce n'est pas grave. Pour l'instant, il faudrait se concentrer sur le présent, et aussi sur le futur car si tu restes bloqué sur cette instant d'incompréhension et de frustration... tu n'avanceras jamais. "

La dame se dit vaguement que cette remarque s'appliquait à elle même. Après tout, elle aussi restait en pause sur le moment de sa renaissance, sur ses parents aujourd'hui assassinés et sur tout ce qu'elle avait perdu. Seiyoku détourna les yeux de Taku.

Apparemment l’histoire de ce dessein avais attisée la curiosité de seiyoku. Taku ne s’en félicita pas. Mais bon, chacun son ressentit. Puis elle lui dit qu’il devais arrêter de penser a cette histoire, ce concentré sur le présent et l’avenir. Lui disant que si jamais il restait sur cette événement, il n’avancerais jamais. L’aveugle ce posa contre le dossier de sa chaise avec un sourire; ce qu’elle venait de dire étais vrais. Et il le savait. Taku resta ainsi le regard un peut perdu dans ces pensée.

“Tu a raison. je devrais peut-être l’oublier. Puisque c’est comme sa, je ne ferais pas que te le montrée, je te le donnerait. Tu en fera ce que tu veux, mais garde le pour toi. Au vue de l’importance qu’il a encore, sa n’rais pas si je savais qu’il finirais au feu par exemple. Alors que si avec le temps je l’oubli, sans savoir si il existe encore ou non, alors il sera parti définitivement.”

Durant cette période “d’absence”, Taku avais un peut perdu le fil de ce qui l’entourais. Il savais cependant qu’il étais à table, dans un restaurant. Le peintre rechercha a tâtons ces couvert, en faisant attention a ne rien renverser. Une chose lui manqua, la distance a la quelle il était de seiyoku. Mais bon, dans un lieu publique, il ne comptais pas ce faire remarque outre mesure...

" Je le garderai soigneusement. "

Son sourire revint mais que très légèrement, elle était assez heureuse qu'il décide de lui offrir l'œuvre au lieux de la jeter. La jeune femme croisa les jambes et la texture vernis de ses escarpins alla glisser contre la jambe de l'homme, ayant mal calculer la distance à laquelle il se trouvait et comment il avait placer ses jambes. Gênée elle recula légèrement sa chaise.

" Désolé. "

Le repas continua ainsi, ils parlaient de chose et d'autre et évitaient pour le moment les questions déplacées. D'ailleurs aucun des deux ne revenaient sur l'été il y a deux ans, ne disant mot dessus mais ayant les lèvres bruler par l'envie d'en parler.

" J'étais repartie en Europe, en France et à Paris précisément. J'y suis allée pour étudier la musique et aussi en voyage touristique. Là-bas il fait plus froid que chez nous, ce n'est pas du tout la même chose. Par exemple, nous n'enlevons pas nos chaussures en entrant, les étudiants n'ont pas d'uniformes, ils mangent uniquement avec des fourchettes et considère le treize comme un chiffre porte malheur. "

Parfois elle riait, amusée en racontant une petit anecdote, parfois elle restait sérieuse et avait la voix assez grave.

" Malgré tout, il faisait bon d'y vivre. Je suis rentrée parce que le japon me manquait, mais occasionnellement je rentrerai en France. "

Seiyoku et Taku finirent leur repas, la demoiselle décida d'emporter les o-dangos pour les manger sur le chemin du retour. Elle paya l'addition qui n'était pas assez salée pour assoiffé son porte monnaie. Tout deux sortir, Yoku-san serrant avec douceur la main de l'aveugle en le guidant d'un pas lent. Ses chaussures à talons résonnaient dans les ruelles sombres, la soirée était avancée.

Seiyoku lui dit qu’elle garderais soigneusement le dessin. C’étais ce qu’il voulais entendre, pour le moment tout du moins (^^). Taku repris son repas alors qu’il senti quelque chose sur sa gambe. Cela l’interloqua et en entendant la jeune femme s’excuser, l’aveugle comprit que c’étais probablement sa chaussure qu’il savais sentit. Lui même ce replaça attendant cependant grasse au peut de bruit qu’elle avait fait en ce replaçant, il arrivait a placer la chaise et donc par la suite Seiyoku. Taku ce remit lui même en place avant de reprendre le repas qui ce passa très bien. Elle lui racontant qu’elle étais en Europe et qu’elle y avais appris plusieurs choses lui racontant quelques anecdote, lui même lui avoua qu’il ne voyageait pas beaucoup, pour voire quelque chose, il na pas besoin de bouger. Mais sa condition l’empêcher de voyager pour connaître les gent, car elle provoquait une réaction similaire a toutes les personnes qu’il rencontrais. L’aveugle ce garda d’étaler plus il ne voulais pas rajouter d’ombre au tableau. Ils sortirent plus tard à la fraîcheur de l’aire la soirée avais avancer la ville étais un tout autre monde la nuit... C’étais plus facile de s’y déplacer durant cette période. Ils avançaient sa main dans celle de la jeune femme puis il revint sur un point du repas ou il avait oublier de poser sa question ou plus tôt en y repensant une question lui vint et il la posa

“Dit moi... tu a dit que par moment tu retournerais en France.”

Taku réfléchit quelques instant avant de ce décider a ce “lancer”, en effet la question pouvais être prise différemment selon la personne...

“Hum..... est ce qu’une foie tu m’emmènera? Ne t’en fais pas j’avancerais mes frais de voyage et de logement si il faut. Découvrir les gents seul n’est pas vraiment pensable, a deux ce sera plus du domaine du possible...”

Qu’est ce qu’il proposais la?... rien d’anormale, même si sa pouvais paraître un peut spécial. L’aveugle attendais la réponse de Sei tout en marchand d’un pas tranquille. Serte la population concernant les piéton avais changer, mais étant accompagner le pire étais éviter enfin... À moins de circonstance exceptionnel, lui même pendant un temps avais cesser ces excursion nocturne après avoir du mettre au tapi un homme complètement saoul... pas incapable l’aveugle...

Seiyoku resta silencieuse un moment, le temps que tout deux atteignent l'entrée de l'imposante pension. Elle était dans un style de manoir japonais, au couleur rouge et bois. Entouré de cerisier en fleurs, les pétales jonchaient le sol en absence de vent. Chaque passant les écrasant révélait un peu plus le parfum doux qui planait dans l'air. Là, la jeune femme s'arrêta et pivota pour se tourner vers l'aveugle qui l'avait suivi jusqu'ici sans ciller.

" Ce serait avec grand plaisir, Taku. Un jour je t'emmènerai avec moi en France mais ça sera surement moi qui te payera le voyage. Oui ce sera la condition ! je t'en fais la promesse. "

Elle sourit, heureuse qu'il est fait cette demande. Les deux gens regagnèrent leur chambre et la demoiselle laissa Taku seul dans la chambre le temps d'utiliser la salle de bain mixte du pensionnat. Elle se déshabilla, plia avec soin ses vêtements et entra dans la cabine, faisant ensuite couler l'eau chaude sur son corps laiteux au forme d'adulte. Après tout, elle avait bien eut ses 21 ans cette année même, elle était femme désormais. Yoku-san ne s'inquiétait pas trop pour l'aveugle, ils étaient seuls à avoir occuper cette chambre. Ses cheveux noirs de jaie lui collaient dans le dos, Seiyoku entreprit de se laver et ressortit de la salle de bain une petit demi heure après, ayant revêtit un mini short en tissu et un débardeur braillant le tout d'une même couleur sombre. Malgré que ce fut également sa chambre à elle, la demoiselle frappa à la porte avant d'entrer. Avec patience, elle attendit qu'il lui permit d'entrer avant de le faire et de venir se coucher sur son lit, les cheveux encore humides.

" Il est déjà 22 heures, je vais éteindre. Bonne nuit Taku. "

Seiyoku se sentit idiote de lui avoir dit qu'elle éteignait la lumière, pour lui s'était pareil, il ferait toujours nuit. Elle se recroquevilla sur elle même, faisant dos à l'aveugle. Fermant les yeux, elle essaya de s'endormir au plus vite.

Seiyoku avait dû s'endormir, elle eut l'impression de seulement cligné les yeux mais pourtant déjà deux heures s'étaient écoulées. Elle pivota sur elle même, se tournant vers leur table de chevet commune, là le réveil indiquait minuit et quart. La jeune femme soupira en passant ses doigts dans sa frange soulignant si bien son regard. Qu'allait-elle faire maintenant ? elle ne pouvait plus se rendormir et la présence de Taku la gênait. Doucement elle alluma la petite lampe de chevet qui éclairait assez bien les deux lits. Taku était adossé contre le mur, assis sur son lit, Yoku-san ne parvint pas à savoir si il dormait où non mais il avait les yeux fermés tout du moins. Sa respiration était régulière, elle n'osa pas parler ayant peur de le réveiller ou de le déranger.

La nuit passa ainsi, Sei-chan se leva vers six heures du matin, les membres raidis d'être resté immobile. Debout, elle enfila une jupe noire plissée et un chemisier pourpre sans manche. Elle le laissa bien ouvert et plongeant, la journée s'annonçait encore de bonne chaleur. Elle s'attarda un instant à regarder Taku dans son pyjama de jade en souriant. La demoiselle finit par sortir en fermant la porte doucement.

Seiyoku marcha jusqu'à chez l'épicier, elle achêta des onigiris pour le petit déjeuner et des bentos déjà préparer pour le midi. Bien qu'elle sache cuisiner elle n'en n'aurait pas eu le temps, elle devait se réinscrire à l'université et passer les examens d'entrer. Au bout d'une heure elle revint à la chambre cette fois-ci en faisant un peu plus de bruit, le soleil était déjà lever et s'était l'heure de se lever. La jeune femme posa ses courses sur son lit et s'assit à côté.

" Bonjour Taku-sama. "

Durant toute la nuit, Taku n’avais pas bouger. Attendant que le temps ne passe, l’aveugle le faisait passer en pensant.... ou... il pensait... a tans de chose que dans le silence Taku perdit la notion du temps, et se, totalement.... à un moment l’aveugle entendit la lampe s’allumer.... il n’y réagit pas, si sa se trouve c’étais pour l’éteindre.... mais cette idée fut contrecarré au bout de quelques minute, alors que la peau sensible du non voyant sentais la chaleure de la lampe au niveau de la main... elle était donc allumer. Mais de toute la nuit, il ne l’entendit pas ce rééteindre....... taku lui tachais de passer devant ces yeux toute sa mémoire... de la plus simple, comme les caractères du brailles, au plus complexes, comme les différentes cachette ou il planquais les petites choses qu’il trouvais étant enfant... petit a petit, le jeune homme tomba dans un état de semi conscience.... il n’était plus attentif au monde extérieure mais il les sentiraient.... tout comme il sentait encore la chaleur de la lampe... le temps passait ce qui le ramena a la réalité totale, fut un regard qu’il senti sur lui... même si cela prit assez de temps pour que finalement ce sois la clôture de la porte qui achève le travaille. Ce moment d’absence l’aveugle le prit pour ce réveiller totalement, car, il semblerais qu’a un moment ou il ne l’ait pas remarquer, il ce sois endormit. coi qu’il en sois, si Seiyoku sortais après c’être habiller, cela voulais dire que c’étais le matin... effectivement, il n’étais pas forcément logique de s’habiller pour sortir en pleine nuit.... en l’attendant Taku éteint la lampe car, si son estimation quand a l’heure était bonne, le soleil ne tarderais plus trop... pleinement réveiller l’aveugle avait entendu les pas de la jeune femme revenir.... elle ouvrit la porte normalement. Avait-elle voulu le réveiller? Ou savait-elle qu’il étais déjà conscient... peut importe... sa camarade de chambre déposa ce qui semblais être des sac sur son lit, puis Taku put l’entendre s’asseoir. Et pour la première foie de cette journée, l’aveugle entendit la voie de la jeune femme. Gardant les yeux clos, il tourna la tête ver la jeune femme et répondit en souriant...

“Bonjour Seiyoku-san...

Permettez moi de ne pas vous demander si vous avez passer une bonne nuit, je sais qu’elle a été courte pour vous... enfin... le sommeille le fut, l’attente elle a du être plus longue non?”

Taku ce demandais comment elle allait réagir au fait qu’il sache cela, alors qu’elle avais du penser qu’il dormais pour ne pas parler.

Seiyoku esquissa un sourire léger.

" Tout autant que vous, Taku-sama. "

La jeune femme déballa son sac et ouvrit la boîte plastique des onigiris, elle en tendit un à Taku et s'en prit un.

" Servez-vous je vous prie. "

Elle croqua dedans, le goût de riz et de thon grillé lui allumant l'appétit comme si l'on appuyait sur un interrupteur pour allumer la lumière. Après une bouchée, s'en fut une autre, prenant le tant de mâcher et de savourer malgré que son estomac vide en réclamait encore.

" Ils sont au thon grillé, j'espère que vous aimez. "

La demoiselle lui prit la main pour lui indiquer où était le paquet, ensuite, elle continua à déguster jusqu'à en finir quatre. Les onigiris étant vendus en paquet de huit, Taku en aurait tout autant à manger. Se relevant, elle farfouilla dans son placard pour chercher un sac à dos qui était déjà plein du matériel dont elle avait besoin.

" Je vais devoir vous laisser, je dois aller m'inscrire à l'université et passer un examen, mais ma foi, je serai rentré au environs de 16 heures... si vous êtes encore dans le coin. Bonne journée, Taku-sama. "

Seiyoku se pencha vers lui et déposa un baiser sur sa joue mal rasé, puis, partie tranquillement sans verrouiller la porte.